dimanche 4 mars 2012

OGM : Attention Danger !

Ils vont finir par nous les faire bouffer d'une manière ou d'une autre, avec ou sans notre consentement !

Je vous invite à prendre connaissance cet article.

Lisez cet article jusqu'au bout, et si vous ne vous sentez pas plus concerné, apprenez que :

"Si l'abeille venait à disparaître, l'homme n'aurait plus que quelques années à vivre."

Albert Einstein

N'hésitez pas à signer la pétition, et diffusez largement ce message !

dimanche 19 février 2012

Loi de pénalisation de la négation du génocide arménien

Cette loi a été proposée par la droite dans le but de gagner quelques voix, votée par les représentants élus, à l'assemblée et au sénat, à la fois de droite et de gauche (histoire de ne pas être en reste), à part, soulignons-le au passage, quelques irréductibles (de droite comme de gauche), qui font peut-être une réaction allergique à la démagogie.

Que la loi française ait reconnu le génocide arménien est une bonne chose, en tout cas cela ne me choque pas, par contre, punir d'un an de prison et de 45 000 euros tout individu qui le nierait, le contesterait ou le minimiserait, ne me semble pas approprié, d'autant que cette loi n'est applicable qu'en France ou personne (à part peut-être quelques uns, faut toujours que certains se distinguent) ne semble vouloir le contester.
Cette loi n'empêchera en tout cas pas les Turcs de penser et de dire ce que bon leur semble à ce propos, et risque de stigmatiser la communauté arménienne qui vit en Turquie, au lieu de laisser les 2 parties discuter, dépassionner le débat, cette loi ne fait que jeter de l'huile sur le feu. Il faut laisser le temps au temps, les temps nécessaire, plus ou moins long, pour cicatriser les blessures.
Cela ne se fera sûrement pas en agressant les Turcs, qui d'ailleurs nous renvoient à notre passé colonial sur lequel  il y aurait beaucoup à dire...

Dans cette optique, dans un souci d'égalité (la sacro-sainte Egalité qui est partie de notre devise) et d'équité, il faut alors voter une loi pénalisant la négation du génocide des Amérindiens du Nord (là, on se met mal avec les USA) et du génocide des Amérindiens du Sud (là, c'est les Espagnols, les Portugais et l'Eglise Catholique que l'on se met à dos), et tous les autres génocides, récents, anciens, proches ou lointains.
Vous imaginez sans mal l'ampleur de la tâche et la situation difficile dans laquelle la France risque de se retrouver au niceau diplomatique ? Monsieur Juppé, bon courage !
Commençons d'abord par balayer devant notre porte, et les vaches seront bien gardées.

J'aimerais d'ailleurs savoir si tous les membres de la communauté arménienne de France applaudissent cette loi des 2 mains, leurs témoignages et opinions sur le sujet seraient les bienvenus.

Je voudrais terminer mon article en rendant hommage à cette communauté arménienne ou d'origine arménienne, pour laquelle j'ai le plus grand respect, à laquelle je suis profondément reconnaissante d'avoir contribuer au rayonnement de la France, celle que j'aime. Permettez-moi citer pêle-mêle Missak Manouchian, André Manouchian, Henri Verneuil (lui il a pris un pseudonyme), Serge Avédikian, et celui que je considère comme l'un des plus grands chanteurs d'expression française, vous avez bien sûr compris que je veux parler d'Henri Tachan (de son vrai nom Henri Tachdjian, je lui consacrerai un article prochainement.), et bien d'autres.

Je voudrais d'ailleurs m'adresser à Monsieur Devedjian, et lui demander : si ces persécutions avaient lieu de nos jours, êtes-vous  bien persuadé que votre père trouverait encore asile en France ? Ne risquerait-il pas de se voir offrir un billet de retour grâcieusement offert par le gouvernement français, et ce avec la bénédiction de Monsieur Guéant, après un petit séjour dans un camp de rétention ?

mardi 14 février 2012

Queimada

Queimada est un film de Gilo Pontecorvo qui date de 1969 sur lequel j'ai eu la chance de tomber par hasard, dans les années 80, en m'attardant tard le soir devant la télévision.
Ce film démonte la méthode utilisée au 19ème siècle par un agent anglais pour faire passer sous domination anglaise, une île des Caraïbes jusque là sous domination portugaise, et ainsi contrôler la production et le commerce du sucre. Ce film est servi par une musique signée Ennio Morricone, dirigée par Bruno Nicolai.
Ce film n'est pas un film historique, et toute assimilation à une île existante ne serait qu'extrapolation.

Voici donc notre agent anglais, Sir William Walker, interprété par Marlon Brando toujours disposé à prêter son concours à des oeuvres dont le but est de dénoncer l"oppression, qui débarque sur l'île de Queimada, dont le nom signifie "brûlée" en portugais, le titre anglais du film étant "Burn !".
Sa méthode : provoquer une révolte des esclaves, les aider à prendre le pouvoir, une fois cette tâche accomplie, leur faire comprendre conscience que diriger un état dépasse leur compétences, et installer un gouvernement fantoche à la solde de l'Angleterre.

Pour mener  cette révolte, il lui faut un leader, qu'il trouvera en la personne de José Dolores, interprété par Evaristo Marquez acteur colombien dont ce fut la première apparition au cinéma et la plus marquante. Parmi la foule des esclaves, il est le seul à montrer des velléités de rebellion, c'est donc lui, José Dolores qui deviendra le maillon essentiel de l'opération.

Tout marche comme sur des roulettes, et une fois la tâche accomplie, Sir William retourne à ses occupations, jusqu'au jour où...

Voilà  en effet que nos anciens esclaves retournés eux aussi à leurs occupations réalisent que leur sort ne s'est pas amélioré, qu'ils se sont fait avoir jusqu'au trognon, ils reprennent donc les armes et la lutte. Le "gouvernement" dépassé rappelle Sir William, notre fin stratège, à la rescousse.

Celui-ci tente d'abord de faire entendre raison à nos insurgés, puis devant l'échec des négociations, ces braves indigènes étant devenus méfiants, il se voit contraint, la mort dans l'âme, de réprimer par les armes cette mutinerie. La mort dans l'âme, car cet homme cynique, sans foi ni loi s'est pris d'affection et ressent de l'estime et du respect pour l'homme dont il a fait un leader révolutionnaire cet homme qui a tellement bien endossé le costume qu'il ne veut plus le quitter et refuse de rentrer dans le rang.

Pour faire sortir le loup du bois, ou plutôt nos révolutionnaires de leur Sierra, il fera déplacer les populations susceptibles de leur fournir vivres et assistance et incendier les endroits servant de refuge aux révoltés. Nos insurgés, encerclés par l'armée, se feront tirer comme des lapins en tentant  d'échapper aux flammes.

José Dolores en réchappera, condamné à la pendaison, il acceptera son sort, refusant la proposition d'évasion de Sir William qu'il appelle presque amicalement "l'Anglais", car grâce à lui, il es devenu un mythe.
Et un mythe comme chacun sait, peut faire des ravages bien pires que les petites bêtes homonymes.

Sur le chemin qui mène le général José Dolores sur les lieux de son exécution, un soldat (noir lui aussi), lui pose une question (je ne me souviens plus exactement laquelle), et José lui répond : "Si tu poses la question, c'est que tu as déjà commencé à  réfléchir".

J'espère vous avoir donné envie de découvrir ce film, qui vous l'aurez compris, a beaucoup compté pour moi, il se trouve en DVD, notamment dans la collection FNAC, c'est celle que je possède.

Ce qui est extraordinaire avec film, c'est que bien que datant de 1969, il est en plein dans l'actualité.
Je fais référence à des "événements" qui se sont déroulés dans un pays situé sur la rive sud de la méditerranée, où une révolte a éclaté (disons cela ainsi) de façon tout à fait spontanée. Notre président, ardent défenseur des droits de l'homme, averti par un philosophe bien connu et révolté par le sort qui semblait devoir être reservé aux insurgés, n'a eu de cesse de convaincre tous ses alliés occidentaux et quelques autres, qu'il fallait voler au secours (voler et le mot juste) de ces braves gens. Le tyran a été éliminé, doux euphémisme quand on sait qu'il a été lynché, voire torturé avant d'être abattu sans autre forme de procès. Aucune autopsie n'a été pratiquée car les résultats auraient pu ternir gravement l'aura des insurgés et aussi celle de tous les "humanistes désintéressés" qui les ont soutenus.

Mon but n'est pas de défendre la mémoire d'un dictateur sanguinaire qui a torturé, emprisonné, fait disparaître des opposants, et abusé de quelques jeunes filles, mais de dire que ce dictateur avait surtout le tort de vouloir être maître chez lui et de vouloir vendre les richesses de son sous-sol à qui bon lui semblait (non, j'ai pas dit pétrole !), bref d'être un incontrolable, un personnage obtus, incapable de comprendre où était son intérêt. Et que les autres se le tiennent pour dit ! Les historiens se chargeront de lui faire le procès équitable auquel il n'a pas eu droit, je ne sais pas si "L'Histoire l'absoudra" pour plagier Fidel Castro, mais tout individu à droit à la justice, et on ne peut que sortir grandi en respectant les droits élémentaires et la dignité de son ennemi vaincu quelle qu'est été l'horreur de ses actes. Ceci s'applique à tous les vainqueurs et à tous les vaincus.

A propos de Fidel Castro, j'ai été choquée par le parallèle que Daniel Cohn-Bendit a établi entre Viktor Orban et Fidel Castro (et aussi Hugo Chavez). Je lui accorde que plus de 50 ans de pouvoir ne sont pas là la caractéristique d'un grand démocrate, mais je lui suggère de s'interroger sur ce qu'il aurait fait à la place de Castro. Je ne sais pas si le but initial de Castro était de devenir dictateur à vie, mais je conseille à notre ami Daniel de se documenter sur l'Histoire de Cuba et les circonstances qui ont conduit à la situation actuelle : pour comprendre le présent, il faut étudier le passé (amendement Platt, etc) voir : http://www.michelcollon.info/Il-y-a-cinquante-ans-les-Etats.html . "Daniel, si tu me lis, sache que tu as un droit de réponse" (à prononcer à la manière de Michel Drucker). Il faut dire que la nouvelle mode chez nos représentants est de parler sans réfléchir, et parfois sans savoir, de mélanger les torchons et les serviettes et de comparer de choses qui ne sont pas comparables. Depuis l'effondrement de l'Union Soviétique, Cuba n'est plus une menace pour son puissant voisin et n'ayant pas de ressources naturelles susceptibles de provoquer la convoitise, et un changement de régime à Cuba n'est pour l'instant plus une priorité pour les "démocraties occidentales" (et notamment son puissant voisin) et que des concessions seront faites de part et d'autre pour aboutir à  des relations "normalisées", en tout cas, je l'espère.

Et voilà comment, à partir d'un film, on en arrive à  des réflexions sur tout un tas de sujets, "de fil en aiguille"...C'est une des raison d'être du cinéma !

Tout ça pour vous dire que la recette de Sir William fonctionne toujours à  merveille !

Pour ceux qui ont persévéré dans la lecture de cet article et qui s'intéressent aux événements qui se déroulent dans le reste du monde et souhaitent comprendre un peu mieux certaines situations actuelles qui, je le répète prennent leurs racines dans le passé, je vous invite à consulter le site du journaliste belge Michel Collon "investig'action" (je créerai un lien ultérieurement), vous pourrez y lire les analyses de différents intervenants et vous informer sur Haiti, le Darfour, le Soudan la Libye, la Somalie, pourquoi y a-t-il des pirates en Somalie, et de fil en aiguille (encore), vous comprendrez que rien n'est simple, que rien n'est tout blanc, rien n'est tout noir. Si l'Afrique vous intéresse, je vous conseille notamment les articles de Mohamed Hassan, sur l'Erythrée entre autres.

N'acceptez jamais les informations que l'on vous donne comme vérités incontestables, vérifiez-les, recoupez-les, ne vous bornez pas à être de oies que l'on gave !!!

Merci de votre lecture !

lundi 13 février 2012

Une Saison Blanche et Sèche

Film américain de Euzhan Palcy (1989)
titre original : A Dry White Season
Avec Donald Sutherland, Susan Sarandon, Marlon Brando
Musique :  Dave Grusin

Ben Du Toit, membre respecté de la communauté afrikaner, se retrouve confronté aux problèmes des Noirs. Le fils du jardinier de l'école où il enseigne et qu'il a pris en amitié a été arrêté lors d'une manifestation où les écoliers noirs réclamaient, notamment, l'enseignement de l'Anglais à la place ou en plus de l'Afrikaner.
Sur le moment, Ben est persuadé que les choses vont s'arranger, et que l'écolier sera bientôt libéré, alors que le père, très inquiet, remue ciel et terre pour retrouver son rejeton. Il est à son tour arrêté, et retrouvé "suicidé" dans sa cellule, mais l'état de son corps ne laisse aucun doute sur les violences qu'il a subies.
Ben n'aura alors de cesse que justice soit rendue à son ami. Mis au ban de sa communauté, il sera l'objet de menaces dans un premier temps puis la cible d'une tentative de meurtre.
Avec l'aide de Melanie Bruwer (Susan Sarandon) journaliste, et de Ian Mc Kenzie (Marlon Brando) avocat,
il ira jusqu'au bout de sa démarche

Adapté du roman éponyme d'André Brink (pour lequel il a obtenu, entre autre, le prix Médicis étranger), ce film est une peinture sans concession de la société sud africaine à l'époque de l'apartheid. Un vibrant plaidoyer pour la justice.

Ben Du Toit de conclure : "Personne ne sera libre tant qu'un seul d'entre nous ne sera pas libre"
Ce film se trouve en DVD, j'espère que je vous aurai donné envie de le voir (pour ceux qui ne l'on pas encore vu), ou de le revoir pour les autres.

Je vous suggère d'aller sur Wikipédia voir la bio d'André Brink et aussi de vous documenter sur l'histoire de l'Afrique du Sud, histoire complexe et passionnante et qui permet (comme pour chaque pays et chaque peuple) de mieux comprendre le présent.

A voir également, si ce n'est déjà fait, Invictus de Clint Eastwood

dimanche 12 février 2012

Et vous, quel spectateur êtes-vous ?

Il y a les occasionnels, ceux qui vont au cinéma pour se distraire, pour passer un bon moment.
Ils restent généralement sur les sentiers balisés et choisiront une bonne comédie, un thriller ou un film sentimental, gai ou triste, généralement français ou américain. Comme ils ne vont pas souvent au cinéma, ils éviteront de prendre le risque d'être déçus.

Ensuite, il y a les mordus, les cinéphiles, les aventuriers, qui passent beaucoup de temps dans les salles obscures, fréquentent les salles d'art et d'essai à l'occasion privilégient les séances en vo et ne reculeront pas devant un film turc, coréen, japonais, chilien, argentin. Ce sont des explorateurs. Ils suivent l'actualité cinématographique.
Chaque semaine ils consultent les sorties de la semaine, lisent les critiques (sans forcément renoncer à  un film qui les tente, même si la critique est mauvaise) et visionnent les bandes annonces. Ils font ensuite leur petite sélection des 2 ou 3 films (voir plus) qu'ils aimeraient voir dans la semaine seuls ou accompagnés, peu importe, c'est le film qui les intéresse, et aussi, parfois la communion avec les autres spectateurs, qui dans certains cas se comptent sur les doigts d'une main, les rires ou les larmes partagées, larmes qui peuvent être provoquées par le tragique de l'histoire ou simplement par l'émotion qui les envahit lorsqu'ils prennent conscience d'avoir vu un chef d'oeuvre, et ils conserveront ce souvenir bien au chaud en le protégeant comme le faisaient jadis les hommes préhistoriques pour le feu. Ils sont des voleurs de feu, ils sont heureux comme l'amateur de peinture qui devine un chef d'oeuvre que tous les autres ont ignoré. Parfois, mais rarement, trop rarement, quelqu'un applaudit, rejoint par d'autres, plus timorés, qui n'attendaient que son signal pour se lâcher un peu.
Pour passer de la première catégorie à la seconde, il suffit d'un rien, d'une rencontre, un ami arrive à vous convaincre d'aller voir un film étranger, un peu confidentiel, un peu comme lorsque l'on vous initie à une cuisine exotique et que vous trouvez ça bon, et vous voilà pris d'une frénésie de découverte, d'une insatiable curiosité, vous avez chopé le virus.
Des films qui m'ont réchauffé le coeur et rejoui l'âme, j'en ai vu, un certain nombre, et je compte bien vous en parler. Des films récents ou plus anciens, des drames, des comédies, des films engagés ou non (qu'est-ce qu'un film engagé ?) en espérant vous donner l'envie de les voir, ou de recueillir votre opinion et vos commentaires si vous les avez vus.

Amis du 7ème art, je vais m'atteler à construire ma rubrique cinéma, mais vous pouvez déjà donner vos réponse à  la question titre de cet article, que vous soyez un assidu ou un occasionnel, que vous ayez une culture cinématographique étendue ou modeste votre commentaire est le bienvenu.

Sans cervelle

Vous avez sans doute entendu parler de la gaffe de Nora Berra qui a conseillé aux sans abris de ne pas sortir de chez eux ?
Moi, je lui suggère de leur conseiller de ne pas sortir de chez elle.
En effet, s'ils sont sans abris, c'est parce qu'ils n'ont pas de chez eux, je lui propose donc d'en accueillir quelques uns chez elle et si les chambres et les lits lui font défaut, quelques sacs de couchage dans le salon feront très bien l'affaire.
Si certains sont sans abris, d'autres sont sans cervelle, et les membres de notre gouvernement feraient bien de tourner 7 fois leur langue dans leur bouche avant de parler, ou plus facile encore, de se taire.
La connerie est une manne inépuisable, et comme le disait François Morel, voilà nos politiques qui mâchent le travail des humoristes !
On n'a pas fini de rire, et même de pleurer de rire.

Tous à vos mouchoirs !

Préambule

Pourquoi ai-je crée ce blog (ou plus précisément demandé à mon fils de me le créer) ?
Pour communiquer, partager, m'instruire par vos commentaires, et je l'espère, réunir des gens très différents.
Dans mon profil, j'ai choisi de ne pas évoquer mes centres d'intérêts, mes goûts littéraires, musicaux, cinématographiques car ils sont nombreux, très hétéroclites, et qu'une liste serait terriblement réductrice.
J'ai créé ce blog parce que j'ai "tellement de choses à dire" (Polnareff), tellement de commentaires à faire, notamment en cette période de pré-campagne électorale que quelqu'un a qualifié sur le site du Monde de campagne de bac à sable, puisse-t-elle ne pas devenir une campagne de fosse sceptique, mais je crois que rien ne nous sera épargné, et pour nous "séduire"certains ont déjà mis la main à la pâte, ou plus précisément dans la merde. Ils doivent avoir un sacré problème d'odorat, car ils ne semblent pas être incommodés. Ils ont une telle opinion du "peuple" qu'ils sont persuadés que nous sommes susceptibles de confondre ces relents nauséabonds avec du 5 de Chanel. Mais je reviendrai sur différents thèmes de cette campagne ultérieurement.
Je souhaite réunir sur ce blog des gens pour qui la tolérance, la justice, l'empathie et le respect de l'autre ne sont pas que des mots mais des valeurs essentielles.
Je ne parlerai pas que de politique, quand nous nous connaîtrons mieux je vous parlerai des films, des livres que j'ai appréciés,
Si vous avez pris plaisir à lire ces lignes, n'hésitez pas à me le faire savoir, car la seule information que j'ai ajoutée à mon profil est que je suis cancer et le cancer est un petit crabe timide et pudique qui se plaît à l'abri dans sa carapace mais qui sait aussi sortir ses pinces lorsque le besoin s'en fait sentir, et mes pinces à moi ce sont les mots qui, comme vous le savez sans doute peuvent devenir des armes redoutables, alors encouragez-moi !